Un matin comme les autres
Le cadran sonne, il est 7h45... je dois me lever... bah 1h15 encore avant le travail, snooze... je dors. 7h54 : le cadran crache les nouvelles du jour, rien de spécial, snooze. je dors... 8h03...snooze...8h12... snooze... 8h21... snooze... 8h30... snooze 8h39. Bon il est 8h32 (mon cadran a 7 minutes d’avance... ce sont les minutes de survie). Je me lève... mon coloc est dans la douche. Recouche... 8h47 (8h40), ca y est, la panique ! Fuck la douche, la course est commencé ! Je m’active, plus le choix. Mes toast prennent 3 :30 à sortir du toaster, 2 c’est suffisant, je me goberai de quoi à 11h.
Durant ce temps, je me fait un semblant de coupe de cheveux, Caliss pu de chemise à l’ordre ! 8h44 Les toasts sortent, je criss du fromage en tranche dessus, pas le temps de faire des beurrées. 8h47, c’est englouti. Brosse les dents... 8h49, le temps presse, je suis à 13 minutes à pied du boulot, le retard est évident, mais je ne peux plus me le permettre car je suis en sursis. Je devrai courrir... Merde, il a mouillé, l’eau s’infiltre, j’ai les bas tout trempés... depuis combien de temps je maudis ces godasses.... Fuck la lumière est rouge, je devrai risquer ma vie encore ce matin pour gagner LA minute qui me permettra d’être à l’heure...
Je traverse le parc à la course... il est 8h57, ma boss ne devrait pas encore être là, tout roule comme sur des roulettes... non, fuck j’ai oublié mon lunch, ca va me couter 10$ de resto...
8h58 : Je m’assois dans mon bureau, les traces d’oreiller gravées sur le visage, le ventre qui gargouille déjà, mais le café est bon, chaud et frais. La vie est une course contre la montre et j’ai encore gagné de justesse ce matin....
Je m’étire, satisfait... Après tout, Je pourrai me lever 2 minutes plus tard demain matin...
Durant ce temps, je me fait un semblant de coupe de cheveux, Caliss pu de chemise à l’ordre ! 8h44 Les toasts sortent, je criss du fromage en tranche dessus, pas le temps de faire des beurrées. 8h47, c’est englouti. Brosse les dents... 8h49, le temps presse, je suis à 13 minutes à pied du boulot, le retard est évident, mais je ne peux plus me le permettre car je suis en sursis. Je devrai courrir... Merde, il a mouillé, l’eau s’infiltre, j’ai les bas tout trempés... depuis combien de temps je maudis ces godasses.... Fuck la lumière est rouge, je devrai risquer ma vie encore ce matin pour gagner LA minute qui me permettra d’être à l’heure...
Je traverse le parc à la course... il est 8h57, ma boss ne devrait pas encore être là, tout roule comme sur des roulettes... non, fuck j’ai oublié mon lunch, ca va me couter 10$ de resto...
8h58 : Je m’assois dans mon bureau, les traces d’oreiller gravées sur le visage, le ventre qui gargouille déjà, mais le café est bon, chaud et frais. La vie est une course contre la montre et j’ai encore gagné de justesse ce matin....
Je m’étire, satisfait... Après tout, Je pourrai me lever 2 minutes plus tard demain matin...
9 Comments:
haaaa. Jeune enfant paresseux! On est vraiment tous comme ça. Moi la première. On dirait que je marche mieux à la pression. Contente que tu sois arrivé à l'heure et bon appétit ce midi!
heheheh... Y a fiston-coconut qui suit sensiblement le même pattern -on n'est pas sorti du bois, je pense!
;-)
Hahahaha, c'est une option. En passant, est mentale ta photo, elle me fait trop cramper ! J'essaie toujours de mettre la mienne... mais ca marche pas fort mon affaire on dirait.
Juste parce que t'es fin, je vais te dire comment moi j'ai fait, une fois à bout de patience :
1) j'ai fait un billet dans lequel j'ai mis mon image
2) une fois le billet publié j'ai cliqué sur l'image en question pour avoir son lien`
3) j'ai copié ce lien-là dans le champ prévu à cet effet, dans les paramètres de mon profil
4) j'ai effacé mon billet (qui ne contenait rien d'autre que mon image et le mot «test»)
Bonne chance :-)
Oups.. entre 3) et 4) j'ai sauvegardé mon profil... mais ça je suis sûre que t'es assez bright pour l'avoir deviné, hein!
Et voilà !
Merci Nicole !
De rien, coco :-)
Comme j'ai aimé ce papier. Je m'y reconnais tout à fait. Y'a même certains matins où je me fais des promesses qui ne tiendront pas... des promesses promises sur le dos de ma frustration d'avoir à courir. Car le snooze j'adore, mais le retard et l'urgence, la course pour me rendre, je déteste.
Me voilà donc sans issus. Au fait, j'ai cru remarquer par chez nous que les retards ont surtout lieu lorsque je dois aller faire une chose en laquelle je ne crois pas...
Au plaisir,
c'était ma première visite chez vous.
Au plaisir de vous revoir Caroline, bienvenue chez moi :)
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