Francofolie, taxi et compagnie
Invitation pour les francofolies par une amie. J'y vais. Le point de ralliement est au coin St-Catherine / Jeanne-Mance. Je m'y rends par le metro Berri-UQAM. Cela me permet d'arrêter (finalement) aux foufounes électriques, question de récupérer mon porte-feuille officiellement égaré à cet endroit, depuis le 6 avril 2006. Sur place, la boîte des objets perdus contient une vingtaine de porte-feuilles et un impressionnant lot de padgets, telephones cellulaires, bouteilles de parfum, lunettes, clefs etc...
Mais mon porte-feuille n'y est pas. Je le déclare, à regret, officiellement perdu.
J'accélère le pas pour rejoindre les copains. J'arrive pile à l'heure. Je salut les filles et serre la pince à mon ami JP. Sans perdre de temps, nous partons rejoindres deux autres amis dans la foule.
Il y a eu un peu de pluie durant le spectacle, je commençais à m'inquiéter pour notre bien-être... Mais heureusement, Luck Mervil nous a rappelé qu'on devrait être heureux de cette pluie... et penser aux pays qui n'en ont pas. Je suis automatiquement devenu beaucoup plus tolérant et à l'aise face à celle-ci. Merci Luck pour ton sympathique support moral.
Après le spectacle, nous nous sommes tous dirigés sur St-Denis dans un petit bar Jazz / Lounge dont le nom m'échappe. Sympa comme endroit.
À l'intérieur, il y avait un groupe de Jazz formé d'un Contre-bassiste aux sourcils de Al Pacino, un joueur de trombone qui ressemblait à Chris Farley, un batteur copie conforme de Dave Grohl ainsi que le sosie de Benoît Brunet (la version engraissé de 40 lbs à la retraite) qui jouait du saxophone. Un groupe charismatique... sans aucun doute.
On a bu deux pintes en se racontant un peu n'importe quoi. L'heure du dernier voyage en métro est passé, je devrai prendre le taxi pour retourner chez moi et les copains aussi.
En sortant du bar, les copains, qui se dirigent tous dans la même direction, en attrapent un directement. Je leurs souhaite une bonne fin de soirée et ils m'abandonnent.
Mais mon porte-feuille n'y est pas. Je le déclare, à regret, officiellement perdu.
J'accélère le pas pour rejoindre les copains. J'arrive pile à l'heure. Je salut les filles et serre la pince à mon ami JP. Sans perdre de temps, nous partons rejoindres deux autres amis dans la foule.
Il y a eu un peu de pluie durant le spectacle, je commençais à m'inquiéter pour notre bien-être... Mais heureusement, Luck Mervil nous a rappelé qu'on devrait être heureux de cette pluie... et penser aux pays qui n'en ont pas. Je suis automatiquement devenu beaucoup plus tolérant et à l'aise face à celle-ci. Merci Luck pour ton sympathique support moral.
Après le spectacle, nous nous sommes tous dirigés sur St-Denis dans un petit bar Jazz / Lounge dont le nom m'échappe. Sympa comme endroit.
À l'intérieur, il y avait un groupe de Jazz formé d'un Contre-bassiste aux sourcils de Al Pacino, un joueur de trombone qui ressemblait à Chris Farley, un batteur copie conforme de Dave Grohl ainsi que le sosie de Benoît Brunet (la version engraissé de 40 lbs à la retraite) qui jouait du saxophone. Un groupe charismatique... sans aucun doute.
On a bu deux pintes en se racontant un peu n'importe quoi. L'heure du dernier voyage en métro est passé, je devrai prendre le taxi pour retourner chez moi et les copains aussi.
En sortant du bar, les copains, qui se dirigent tous dans la même direction, en attrapent un directement. Je leurs souhaite une bonne fin de soirée et ils m'abandonnent.
Immédiatement, une autre voiture de taxi, sigle allumé, arrive en trombe. Je lui fais signe. Il freine brusquement et s'arrête complètement en plein milieu de St-Denis dans la voie de gauche... crissement de pneus... et bang !
Une Sunfire rouge l'emboutit par derrière.
Je me mets la main sur la bouche et regarde la scène un peu traumatisé de réaliser que je viens de causer un petit accrochage. Je m'avance vers la voiture de taxi et remarque qu'il n'y a heureusement aucun dommage. Je m'assieds à l'avant et lui assure que tout est ok... et qu'il peut repartir.
Il prend un court respire et entreprend une manoeuvre vers la droite tout en lançant tout de go : ''Je m'excuse, ça arrive très rare... ''. Il n'a même pas terminé sa phrase que encore une fois... crissement de pneus... et bang !
Une voiture l'emboutit directement dans la porte du passager arrière droit.
Cette fois, c'est plus serieux. La porte est solidement enfoncée. Le taxi laisse aller deux ou trois jurons dans un langage que je ne connais pas et il sort de la voiture. Je ne peux m'empêcher de partir à rire, même si je suis seul, sur l'invraisemblance de la situation.
En sortant du taxi, je contiens mes rires. L'autre voiture n'a aucun dommage et quitte la scène. Il ne reste plus que moi et le conducteur de taxi, incrédule, qui constate les dégâts.
- Tu voulais aller où déjà ?
- Euh... ça va... je vais marcher.
- D'accord...
Il rembarque dans son taxi et quitte à son tour. Je fais deux ou trois pas et brise ma promesse.
- Taxi !
4 Comments:
solide post le dog...j'ai rien d'autre à dire.....chow
wouah!! C'est vrai s'que tu racontes?
Ou bien comme Vallie le dit il t'arrive des drôles d'affaires, ou bien tu attires la malchance.
Pfouuuahahahahhahahah!!! Surveille tes "arrières", jamais 2 sans trois!
bee-bop, et voilà ! Un bar avec des banquettes qui ne sont pas fixés au mur... plutôt traitre quand tu ne le sais pas :) Mais c'est belle et bien le bee-bop.
Cathy : Tout à fait vrai.
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