Fou rire, quand tu nous tiens
Ça vous est déjà arrivé d'avoir des fous rires alors qu'il n'y a techniquement rien de drôle ?
Quand je suis fatigué, je semble être passé dans l'art de rire au mauvais moment... et ne plus être capable d'arrêter. En fait, je ne sais pas si c'est mon esprit de compétition, mais le simple fait de me dire à moi-même de ne pas rire semble donner un défi à mon cerveau qui veut me prouver que c'est lui le maître. Cela peut parfois être très embarassant.
Je me rappelle de trois fou rire mémorable qui m'ont atteint à des moments très inopportuns.
Celui là est arrivé il n'y a pas plus de 24h alors que je devais faire un exposé en anglais sous forme de discussion de groupe. Nous étions cinq autour de la table et nous devions discuter de divers sujet. Malheureusement, mon frère jumeau faisait parti du même groupe que moi. Étant pas trop mauvais en anglais, ce type d'exposé n'est pas du genre à trop nous stresser. Mais visiblement, ce n'était pas le cas de tout le monde.
Le premier à faire la présentation de son sujet de discussion était un étudiant en génie électrique venu nous vanter les mérites des héoliennes. Je ne sais pas pourquoi, mais il a décidé qu'il récitait son exposé à moi. Nous étions cinq autour de la table et il ne regardait que moi, sa voix tremblotait incroyablement et il coupait les mots tellement il était nerveux. J'aurais donner tout ce que j'aurais pu pour lui permettre de parler plus clairement, je sais qu'il en était capable. Mais au lieu de cela, je me suis mis à faire une fixation sur sa lèvre supérieure qui tremblait comme une feuille. J'avais jamais vue ça auparavant, c'était à se demander comment il faisait... et comme ça... bang ! Le fou rire. Mon frère a tout compris immédiatement et il a été attaqué à son tour. Il était assit tout juste devant moi, et c'est ainsi que les deux, comme ça, nous étions incapable d'arrêter de rire alors que le pauvre tentait de continuer son exposé tant bien que mal. À la seconde où j'entendais mon frère respirer ou le contraire, une nouvelle vague nous attaquais. Le bordel.
Ils nous est arrivé la même chose il y a plusieurs années de cela, alors que nous nous entraînions au Gym. Mon frère tentait un nouveau record de poid sur le benchpress, J'étais l'homme de la situation pour le sortir du pétrin advenant qu'il soit incapable de soulever la charge. À la seconde où il a tenté de lever la barre, elle est descendu tranquillement jusqu'à sa poitrine... nous nous sommes regardés, échec total, fou rire ! les deux ! On a dû demander l'aide de quelqu'un d'autre pour soulever la barre tellement on ne pouvait pas arrêter de rire.
Quand je suis fatigué, je semble être passé dans l'art de rire au mauvais moment... et ne plus être capable d'arrêter. En fait, je ne sais pas si c'est mon esprit de compétition, mais le simple fait de me dire à moi-même de ne pas rire semble donner un défi à mon cerveau qui veut me prouver que c'est lui le maître. Cela peut parfois être très embarassant.
Je me rappelle de trois fou rire mémorable qui m'ont atteint à des moments très inopportuns.
Celui là est arrivé il n'y a pas plus de 24h alors que je devais faire un exposé en anglais sous forme de discussion de groupe. Nous étions cinq autour de la table et nous devions discuter de divers sujet. Malheureusement, mon frère jumeau faisait parti du même groupe que moi. Étant pas trop mauvais en anglais, ce type d'exposé n'est pas du genre à trop nous stresser. Mais visiblement, ce n'était pas le cas de tout le monde.
Le premier à faire la présentation de son sujet de discussion était un étudiant en génie électrique venu nous vanter les mérites des héoliennes. Je ne sais pas pourquoi, mais il a décidé qu'il récitait son exposé à moi. Nous étions cinq autour de la table et il ne regardait que moi, sa voix tremblotait incroyablement et il coupait les mots tellement il était nerveux. J'aurais donner tout ce que j'aurais pu pour lui permettre de parler plus clairement, je sais qu'il en était capable. Mais au lieu de cela, je me suis mis à faire une fixation sur sa lèvre supérieure qui tremblait comme une feuille. J'avais jamais vue ça auparavant, c'était à se demander comment il faisait... et comme ça... bang ! Le fou rire. Mon frère a tout compris immédiatement et il a été attaqué à son tour. Il était assit tout juste devant moi, et c'est ainsi que les deux, comme ça, nous étions incapable d'arrêter de rire alors que le pauvre tentait de continuer son exposé tant bien que mal. À la seconde où j'entendais mon frère respirer ou le contraire, une nouvelle vague nous attaquais. Le bordel.
Ils nous est arrivé la même chose il y a plusieurs années de cela, alors que nous nous entraînions au Gym. Mon frère tentait un nouveau record de poid sur le benchpress, J'étais l'homme de la situation pour le sortir du pétrin advenant qu'il soit incapable de soulever la charge. À la seconde où il a tenté de lever la barre, elle est descendu tranquillement jusqu'à sa poitrine... nous nous sommes regardés, échec total, fou rire ! les deux ! On a dû demander l'aide de quelqu'un d'autre pour soulever la barre tellement on ne pouvait pas arrêter de rire.
Finalement, le fou rire le moins bien placé de toute ma vie a eu lieu lors d'un service funéraire parce qu'une madame du troisième âge répètait les prières une seconde en retard sur les autres... Pas très élégant, surtout quand le défunt est ton propre grand-père. Un peu difficle d'expliquer à ta mère pourquoi tu riais, il y a vraiment rien de drôle la-dedans, c'est ben ça le pire.
Bref, vous voyez ce que je veux dire ?
9 Comments:
Contexte: je travaillais dans une grosse boîte avec des bureaux un peu partout au pays; une fois par semaine on avait un meeting téléphonique avec la vice-présidente et la directrice générale et nous (les directeurs...), ça se déroule en anglais parce que, à part quelques rigolos d'Ottawa, les gens du ROC ne parlent pas français...
Une directrice de Montréal parlait de "focus"... mais elle a prononcé FUCK-US au moins 45 fois en 2 minutes. Isshh, mes collègues et moi on se tordait de rire :-s
Rire sans pouvoir s'arrêter.... Ça fait tellement du bien!!!
Moi aussi quand ça m'arrive, la plupart du temps, ya rien de drôle à priori, mais moi, maudit que je trouve ça drôle! ;)
lol man...j'imagine la première situation avec toi et ton frère et ça devait être l'enfer...j'aurais pouffer de rire à moins c sur!
En réunion ça m'a pogné en pleine annonce de réorg où des têtes allaient tomber et des faces ben tristes...
Si tu savais le nombre de fois que c'est arrivé dans ma vie. Tout dernièrement même, quand Sarah m'a présenté une page de son calendrier 2007
Je te jure, des minutes et des minutes à rire et à pleurer. N'importe quoi. Mais ça fait tellement de bien.
Martin, jamais commode ça !
Myriam, ouff c'est pas moi qui va acheter ce caldendrier ! ;)
J'aime bien torturer mon petit frère qui est, lui-aussi, affublé de cette maladie !!!
Au point de se rouler par terre en plein restaurant !!!
Et moi, j'alimente le feu !!!! Hahahah !!!
Merci pour ta particpation sur mon blog !! C'est cool de ta part !
Num
T'es malade!? Je paye pas pour ça... C'est un cadeau, disons, pour nous rappeller que la vie c'est débile.
J'te comprends trop bien!
Moi aussi j'ai une soeur jumelle, et lors de moments inoportuns, lorsque c'était même pas drole, on se regardait et le fou rire partait.... Incroyable, et parfois gênant!!
Moi aussi, au salon funéraire, lors des funérailles d'un grand oncle éloigné... J'étais jeune, genre 12 ans.. Tout le monde se recueillait et j'ai regardé ma jumelle.... Erreur Fatale!!
On s'est mise à être crampée, mais vraiment crampée... Je ne sais pas encore pourquoi on riait, mais c'était vraiment incontrolable...
J'peux tu te dire qu'on s'est faite engeuler par notre père après!! Ou là la!!!
C'était pu drole!! :)
Gripette
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